mercredi 13 octobre 2010

Dictionnaire de la Bible, par le R. P. Dom Augustin Calmet

Dictionnaire historique, archéologique, philologique, chronologique, géographique et littéral de la Bible, par le Révérend Père Dom Augustin Calmet, religieux bénédictin, Abbé de Senones.

Quatrième édition revue, corrigée, complétée et actualisée par M. l’Abbé A. F. James.

Reprint de l’édition de 1846 en quatre volumes par M. l’Abbé Migne.

Précédé d’une « Table chronologique générale de l’histoire de la Bible », d’un « Abrégé de la Chronologie », d’une « Chronologie des Grands Prêtres des Hébreux », d’une « Chronologie des Gouverneurs de Syrie, avant et depuis Jésus-Christ », d’un « Calendrier des Juifs », d’une « Dissertation sur la tactique des Hébreux » par M. le Chevalier de Folard, d’une « Dissertation sur la poliorcétique des Hébreux, ou De l’attaque et de la défense des places fortes chez le peuple de Dieu », d’une « Dissertation sur les monnaies des Hébreux frappées au coin », etc.
Suivi d’un dictionnaire offrant une « Traduction littérale des noms hébreux, chaldéens, syriaques et grecs de la Bible » et d’une dissertation sur « le Titre de la Croix de Jésus-Christ, Iesus Nazarenus Rex Iudeorum ».

(Les Editions Sainte-Agnès possèdent un exemplaire original dont la présente édition est le reprint.)

21,5 x 28 cm. Edition reliée.
2716 pages (725 + 645 + 681 + 665)




lundi 4 octobre 2010

Liber Psalmorum (Livre des Psaumes selon la Vulgare. Latin/Français)


Texte intégral du Livre des Psaumes en latin (Vulgate de saint Jérôme), avec en regard la traduction en français de M. l’Abbé Glaire**, pouvant servir à l'étude ou comme Psautier aux âmes pieuses.

* Seule traduction en français de la Sainte Bible approuvée par le Saint-Siège.

16 x 23,5 cm, relié, 353 pages.
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dimanche 26 septembre 2010

Petit catéchisme de la grâce, Chanoine Vandepitt

Tous ceux qui s’occupent d’instruction religieuse savent combien il est difficile de faire entrer dans les jeunes intelligences, une notion claire et précise de la Grâce et de ses merveilleuses opérations.
C’est pourtant le tout de la Religion : la Grâce seule nous apprend à connaître, par la Foi, jusqu’à quel point Dieu nous a aimés, ce qu’il a fait pour nous et la gloire infinie qu’il nous réserve.
La Grâce, chef-d’œuvre de l’amour de Dieu, nous rattache invisiblement à Lui, nous dévoile ses secrets les plus intimes, nous rend participants de sa nature et nous fait, dès ici-bas vivre de sa vie.
Qu’on ne parle pas des aéroplanes justement fameux, qui permettent à de hardis aviateurs de se dérober à nos regards étonnés, de s’élever à tire d’ailes, sans souci du péril, et de monter jusque par-delà les nues, la Grâce nous conduit doucement, sans heurt ni danger, jusqu’aux plus sublimes hauteurs des cieux, elle nous y fait entrevoir, dans un horizon sans bornes de gloire et de félicité, un trône éclatant qui sera le nôtre et dont rien ni personne ne pourra nous déposséder pendant les siècles éternels.
Laissons donc à la fausse philosophie de notre temps, l’orgueilleuse prétention de confiner notre idéal aux basses aspirations de la terre et le rêve insensé d’éteindre une à une toutes les étoiles du firmament ; pour nous, travaillons plutôt à faire luire à tous les yeux le divin flambeau de la Foi, qui nous montre si bien la nécessité de vivre et de mourir dans la Grâce de Dieu, si nous voulons sûrement arriver au Ciel, sur les pas de Jésus-Christ, par la pratique des vertus dont sa vie et ses œuvres nous ont laissé l’exemple.
Tel est le but de ce petit opuscule, - simple, précis, à la portée de tous - et qui pourra devenir un Guide facile et sûr entre les mains de ceux que Dieu a appelés à l’aider dans la grande œuvre de la formation et du salut des âmes.
Aussi, pour réussir à réaliser tout le bien que nous attendons de ce modeste travail, sommes-nous heureux de compter sur le concours si apprécié de nos Vénérés Confrères du Sacerdoce, des Pères et Mères de famille, des Instituteurs et des Institutrices et des zélés Catéchistes de toute condition ; nous ne comptons pas moins, laissez-nous le dire, sur les lumières surnaturelles que l’Esprit-Saint daignera répandre dans l'intelligence de leurs chers disciples, qui sont aussi les siens.

15 x 21 cm, 48 p. - Pour acheter, cliquez ici

Lettres de J. de Maistre à une dame protestante

Par-delà leurs différences, ce qui unit les Protestants entre eux c’est leur opposition à l’Eglise traditionnelle et à certains dogmes – même très anciens – du christianisme.

« [Les sectes protestantes,] quelles qu’elles soient, ne sont donc point des religions : ce sont des négations, c’est-à-dire rien par elles-mêmes ; car dès qu’elles affirment, elles sont catholiques. »

Tout ce que les protestants évangéliques affirment (Trinité, divinité de Jésus-Christ, etc.), ils l’ont en commun avec l’Eglise qu’ont quittée les Réformateurs.

« Il suit de là une conséquence de la plus grande évidence : c’est que le catholique qui passe dans une secte apostasie véritablement, parce qu’il change de croyance, et qu’il nie aujourd’hui ce qu’il croyait hier ; mais que le sectaire qui passe dans l’Église n’abdique au contraire aucun dogme, il ne nie rien de ce qu’il croyait ; il croit au contraire ce qu’il niait, ce qui est bien différent. »

Rejetant les préjugés et le respect humain, le comte de Maistre adresse des propos sincères et amicaux à tout protestant honnêtement épris de la Vérité.

« Je n’emploie, comme vous voyez, ni grec ni latin ; je n’invoque que le bon sens, qui parle si haut qu’il est impossible de lui résister. »

Cette lettre est suivie de diverses pièces justificatives tirées des Conciles de l’Eglise, démontrant la bonne foi de l’auteur.


17,5 x 10,5 cm - 41 p. - Pour acheter, cliquez ici.

mardi 4 mai 2010

vendredi 12 février 2010

La cruauté envers les animaux : la réponse de saint Thomas d'Aquin

« Q. – Veuillez donc nous dire s’il y a péché de faire des cruautés à un animal privé de raison.
Peut-il y avoir péché grave dans certains cas ?
Que pensez-vous des sociétés protestantes pour la protection des animaux ?
Que dire de cette opinion : « L’animal est la chose de l’homme, il peut s’en servir, en abuser en le maltraitant, etc. » et pas de péché, tout au plus véniel ?
C’est une question à laquelle on répond bien diversement, et qui pourtant est très pratique.
Nous aimerions à trouver le cas traité dans l’Ami, si vous n’y voyez pas d’objections.

R. – Vous soulevez là une question assez difficile, mal posée souvent dans l’opinion publique, peu ou point du tout élucidée dans les auteurs de morale. Nous n’avons pas la prétention d’apporter une lumière complète dans un sujet que les maîtres de l’enseignement n’ont pas jugé à propos de traiter avec leur précision ordinaire. Notre but est plus modeste ; quelques idées claires peuvent surnager dans cet obscur problème ; ce sera beaucoup, et assez sans doute pour vous satisfaire, de les avoir exactement formulées et mises en évidence. »


mardi 2 février 2010

R. P. Félix Anizan, En Lui

Le présent ouvrage du R. P. Félix Anizan est destiné aux âmes intérieures. Se fondant sur S. Jean Eudes, Ste Marguerite-Marie, Ste Gertrude, etc., il expose avec une profondeur de vue, une audace inouïe aussi bien qu’une grande sûreté doctrinale, le prodigieux mystère de la dévotion destinée aux derniers temps : la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus.

Le Sacré-Cœur, c’est la manifestation de l’Amour infini de Dieu. Avant que vienne la fin, il veut et va triompher « malgré Satan ». Toutefois, son règne est premièrement intérieur ; à quoi servirait-il à l’homme de gagner le monde, s’il venait à perdre son âme ? Si nous voulons qu’Il triomphe dans le monde, qu’il règne déjà dans nos cœurs !

« L’amour, qui n’est pas la seule perfection de Dieu, est la seule qui explique parfaitement les rapports qu’Il veut avoir avec les âmes ; et si la justice, la sagesse, la puissance concourent à la production de toute œuvre divine, c’est l’amour cependant qui en est la cause principale et la juste mesure.
Dès lors plus les âmes s’approchent de leur Dieu tout amour, plus elles s’unissent au vrai principe de toute vie surnaturelle, et plus elles se disposent à en éprouver l’influence.
De ce chef on devine que l’âme unie au Sacré-Cœur reçoit la vie avec plus d’abondance. » (p. 119)

Un tableau grandiose est ici dressé de l’âme parfaitement identifié au Sacré-Cœur, qui est sa Vie. Puisse-t-il, selon le vœu de son pieux auteur, contribuer à montrer que la doctrine du Sacré-Cœur, loin de n’être qu’une source de grâces actuelles (bénédictions, consolations, etc.), n’est autre que l’illustration adorable de celle de la Grâce sanctifiante.
Quelques appréciations :

« Livre inspiré, écrit sous l’inspiration du divin amour
et destiné à faire aux âmes un grand bien. »

J.-B. Arista, évêque de Acireale.

« Superbe monument élevé à la gloire du Sacré-Cœur. »

Le Bulletin de la garde d’honneur.

« Comprendre ainsi et faire connaître sous ce jour la grande manifestation du Cœur de Jésus aux hommes,
c’est assurément faire œuvre salutaire entre toutes. »

Revue Thomiste.
10,7 x 17,4 cm, 316 pages
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dimanche 31 janvier 2010

Le Contrat de l’homme avec Dieu par le saint Baptême, S. Jean Eudes

C’est une chose déplorable à larmes de sang, de voir que d’un si grand nombre d’hommes dont la terre est peuplée, qui ont été baptisés, et par conséquent admis au rang des enfants de Dieu, des membres de Jésus-Christ et des temples vivants du Saint-Esprit, et obligés à mener une vie conforme à ces divines qualités, il y en a néanmoins beaucoup plus qui vivent en bêtes, en païens et même en démons, qu’il n’y en a qui se comportent en véritables chrétiens.
Quelle est la cause d’un si grand mal ? Il y en a plusieurs. Mais l’une des principales est que la plus grande partie de ces mêmes chrétiens est ensevelie dans un tel abîme de ténèbres et dans une si prodigieuse ignorance des choses qui appartiennent à leur profession, que même ils ne savent pas ce que c’est que d’avoir été baptisés. Ils ne connaissent point ce que c’est que d’être chrétiens ; ils ne considèrent presque jamais les grâces indicibles et les faveurs incompréhensibles que Dieu leur a départies par le saint sacrement du Baptême, et ils passent toute leur vie sans penser une seule fois comme il faut aux promesses solennelles qu’ils ont faites à sa divine Majesté, et aux obligations très importantes dans lesquelles ils se sont engagés lorsqu’ils sont sortis de la famille d’Adam pour entrer en celle de Jésus-Christ, par le saint et sacré Contrat qu’ils ont fait avec lui dans leur Baptême.
Saint Jean Eudes
15 x 21 cm, 65 pages

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