samedi 31 décembre 2011

La chasse aux bévues. Erreurs et ignorances religieuses, par le chanoine Eugène Duplessy

Plusieurs auteurs à prétention catholique abreuvent depuis de nombreuses années les milieux conservateurs d’ouvrages qui répandent l’idée qu’il n’y a de salut que par la culture, qu’il suffirait de relever le niveau culturel des modernes pour réorienter la société vers des « valeurs » plus « fortes », que le seul moyen de sortir du marasme actuel est de dissiper les idées fausses que nos contemporains se font du christianisme – religion « bien plus moderne qu’on pourrait le croire »… Fadaises sans nom mais non sans succès, hélas !

A l’heure où les traditionalistes cherchent à se constituer en lobby pour devenir des acteurs à part entière de la Modernité, nous exhumons cet opuscule du chanoine Duplessy comme un témoignage de la réaction spontanée de la mentalité traditionnelle face à l’ignorance religieuse dont font habituellement preuve les libéraux : la réfutation et le rire – mais non l’enseignement « culturel ».

L’ignorance religieuse étant le fruit direct de l’apostasie, vouloir relever le « niveau culturel » des libéraux, des modernes et des laïques, c’est vouloir soigner les effets sans s’attaquer à leur cause ; plus grave que cela, c’est vouloir donner à l’impiété les moyens de rester fidèle à elle-même et de ne pas avoir à se convertir, à revenir de ses mauvaises voies pour éviter le châtiment.

La religion chrétienne est complexe, car elle est fondée sur des dogmes révélés par Dieu et destinés à élever l’âme au-dessus d’elle-même ; la raison qui refuse d’être illuminée par la Foi qu’enseigne l’Eglise, Corps mystique du Christ, demeure à jamais enténébrée, opaque et impénétrable à la Lumière transcendante – quoi qu’elle en pense. Nul besoin de s’étonner que l’appareil d’une religion rédemptrice fasse l’objet de méprises si vastes et si régulières. L’ignorance religieuse, qui commet sans cesse des contresens et des bévues souvent cocasses, est le résultat de la non-insertion de l’esprit dans l’Edifice transfigurateur qu’est la religion chrétienne. Rien ne sert donc de s’efforcer d’inculquer des notions « culturellement exactes » aux libéraux : la tâche de l’Eglise est de rétablir la vérité, non de donner de la culture aux impies.

Cultiver les modernes, c’est leur ôter toute possibilité de conversion.

Un avant-propos inédit développe ces perspectives, qui deviennent de plus en plus méconnues des catholiques qui se veulent fidèles à la Tradition.




Réédition précédé d’un avant-propos inédit :
« Faut-il « cultiver » les libéraux? »,
par un Prêtre.


15 x 21 cm
241 pages

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ACTES de S. S. LEON XIII (4 volumes)

ACTES de S. S. LEON XIII, Encycliques, Motu proprio, Brefs, Allocutions, etc.

Précédés d’une notice biographique et d’une Table générale alphabétique.

7 volumes en 4 tomes. 640 + 604 + 530 + 210 (1984 pages)
15,7 x 23,5 cm. Reliés.






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Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ en tableaux, par J. de Witte, prêtre

La Geste divine du Verbe éternel de Dieu fait chair « pour nous les hommes et pour notre salut » constitue le sujet principal de la méditation et de l’étude du chrétien. Une part importante des Litanies du Saint Nom de Jésus consiste dans l’évocation des instants sacrés de la Vie du Sauveur, véritables Archétypes de la vie de la voie de retour à Dieu qu’empruntent les baptisés, Mystères insondables de la bonté divine et des exigences d’un Dieu trois fois saint, dont la volonté est de tout récapituler dans le Christ. Il convient donc de connaître à fond l’Histoire bénie de notre Salut, puisque l’on n’aime bien que ce que l’on connaît bien.

Cet ouvrage retrace les événements majeurs de la vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ en quarante-six gravures, qui fourniront, surtout aux plus jeunes ou aux nouveaux convertis, un beau moyen de mieux connaître Celui que l’Ange Gabriel a annoncé comme le Roi et Sauveur du Monde.


Ouvrage composé de 54 belles gravures
15 x 21 cm,
37 pages
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samedi 17 décembre 2011

ACTES de S. S. BENOIT XV

ACTES de S. S. BENOIT XV, Encycliques, Motu proprio, Brefs, Allocutions, etc.
Précédés d’une notice biographique et d’une Table générale alphabétique.




3 volumes en 2 tomes. 314 + 548 (862 pages)
15,7 x 23,5 cm. Reliés.




jeudi 8 décembre 2011

Le Dies Iræ, histoire, traduction et commentaire, par le P. Charles Clair, sj

Aucune pièce de la Liturgie catholique n’est aussi terrifiante et ne communique l’horreur de la condition humaine avec plus de puissance que les strophes du Dies Iræ, la prose des morts. Ce poème épouvantable est le cri de terreur de la créature humaine à la pensée de l’apparition invincible du Souverain Juge des vivants et des morts. Les strophes énumèrent les raisons objectives de l’épouvante qui s’empare de l’homme pécheur, chacune retentissant « comme un coup de tonnerre ou comme un long gémissement du monde à l’agonie. »

Sur ce roc théologique vient s’échouer, à peine ébauchée, l’épave de la ritournelle moderniste sur l’ « espoir » dont la Modernité parle tant sans jamais donner de contenu à ce concept de toute façon dénué de sens.
Les sornettes mondaines sur la félicité automatique atteinte instantanément par le défunt qui, par définition, « ne souffre plus », éclatent misérablement sur l’affirmation irréfutable – teste David cum Sibylla – de l’avènement prochain du Tribunal effroyable, où « à peine le juste est sauvé »…

La vertu théologale d’espérance est pourtant à son maximum dans le Dies Iræ : elle culmine dans l’invocation finale : Pie Jesu Domine, dona eis requiem. Mais pour être en acte en l’homme, il faut que celui-ci n’existe plus – que son cœur soit dépris de lui-même au point de n’être plus que broyé comme cendres : Cor contritum quasi cinis. Cette humilité véritable, qui n’est pas un vague sentiment d’insatisfaction vis-à-vis de son imperfection, mais bien plutôt la très vive conscience que le simple fait d’exister en-dehors de Dieu constitue les prémices de la damnation : Deus meus et omnia !

Le commentaire du P. Charles Clair, devenu difficile à trouver, est une admirable méditation de ces vers terribles dans l’esprit de la Tradition.



15 x 21 cm



189 pages




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samedi 3 décembre 2011

ACTES du Concile Vatican I, suivi des Travaux de ce Concile






ACTES du Concile Vatican I, suivi des Travaux de ce Concile.



15,7 x 23,5 cm. Relié.
611 pages




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Saint Jean Eudes. Vie populaire illustrée de dix-sept gravures, par le R. P. D. Boulay

Saint Jean Eudes. Vie populaire illustrée de dix-sept gravures, par le R. P. D. Boulay




Saint Jean Eudes (1601-1680) est assurément l’une des figures les plus marquantes de l’Ecole de spiritualité française (XVIIème s.). Canonisé le 13 mai 1925, ses écrits figurent parmi les sources les plus sûres et les plus profondes de la doctrine du Sacré-Cœur de Jésus.

Il est considéré, déclare S. S. Pie XI dans sa bulle de canonisation, comme « le Père, le Docteur et l’Apôtre » du culte du Sacré-Cœur.

La présente hagiographie donne un bon aperçu de ce que furent la vie, les travaux et surtout la dévotion de ce saint missionnaire, fondateur et prédicateur, dont le Roi et la Reine écoutaient avec respect et attention les réprimandes et les exhortations.



15 x 21 cm, 140 pages


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ACTES de S. S. PIE X (4 volumes complets)









ACTES de S. S. PIE X, Encycliques, Motu proprio, Brefs, Allocutions, etc.
Précédés d’une notice biographique et d’une Table générale alphabétique.




8 volumes en 4 tomes. 677 + 748 + 560 + 444 (2429 pages)
15,7 x 23,5 cm. Reliés.





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vendredi 21 octobre 2011

Dictionnaire universel de Philologie sacrée de Charles Huré

Dictionnaire universel de Philologie sacrée de Charles Huré, révisé par l’Abbé Migne

Un trésor pour les Exégètes et les Prédicateurs !

Quatre gros volumes reliés
21,5 x 28 cm
615 + 579 + 683 + 553 pages


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Bibliotheca sancta de Sixte de Sienne

Bibliotheca sancta. Opus post Sacra Biblia, omnibus veram ac sinceram theologiam profitentibus summopere necessarium par Sixte de Sienne.



Manuel d’exégèse réputé, qui fait autorité depuis l’époque du Concile de Trente.




21,5 x 28 cm,
730 pages, relié.
Edition de 1610.

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Glossa ordinaria de Walafridus Strabus

Texte complet de la Glossa ordinaria de Walafridus Strabus
(Tomes 113 et 114 de la PATROLOGIE de l’Abbé MIGNE)
en Latin



Deux gros volumes
660 + 594 pages


21,5 x 28 cm, reliés.



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Libri decem Hypotyposeon theologicarum

Libri decem Hypotyposeon theologicarum sive regularum ad intelligendum Scripturas divinas, in duas partes distributi : quarum prior, quæ octo libros complectitur, locos aliquot communes, ad Scripturam exactam intelligentiam spectantes satis enucleate tractat. Posterior, quæ duobus voluminibus clauditur, duas regularum quinquagenas continet, quas non inutiles fore illis Theologis, qui Sacris Bibliorum mysteriis initiantur, re ipsa cognosces. Summa cura ac diligentia elaborati … a Martino Martini Cantapetrensi, Sacræ Theologiæ Magistro, etc. (Superiorum permissu.)



21,5 x 28 cm,


416 pages, relié.


Edition de 1771.



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mercredi 12 octobre 2011

Le Traité du Saint-Esprit, Mgr Jean-Joseph Gaume

Ce Traité de Mgr Gaume est un classique. Motivé par le désir de « faire connaître la troisième Personne de la Sainte Trinité, en elle-même et dans ses œuvres », l’auteur en est venu à dresser le tableau de l’histoire de l’humanité du point de vue de la Révélation – en réalité le seul qui soit réellement objectif, puisque le seul qui se situe dans la lumière du Verbe divin. La mission de l’Esprit « qui procède du Père et du Fils » est appréhendée dans le contexte de la Modernité émergente, ce qui confère à cet ouvrage un aspect on-ne-peut-plus opportun.







Sur le même thème, paru à nos Editions :
Le Catéchisme du Saint-Esprit


par le R. P. Nérée-Beaudet, ofm





2 volumes
597 + 691 pages
15 x 21 cm
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mardi 27 septembre 2011

L’esprit de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

Ce volume se présente comme un résumé de la doctrine de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, formé d’un compendium de citations, qui permet de saisir quelque chose de ce formidable témoignage de réalisation de la vie spirituelle.

La « voie de l’enfance spirituelle » culmine dans l’holocauste ou l’entière consumation dans l’Amour divin. Elle est une voie d’abandon qui mène au néant de soi et à la plénitude divine. A ce titre, elle est une imitation très exacte de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans sa douloureuse Passion, c’est-à-dire une pratique du renoncement absolu à toute volonté propre, à tout désir propre, et surtout à toute prétention d’être un tant soit peu soi-même indépendamment de Dieu – de Dieu seul.

Parce qu’elle se consacre au feu dévorant de la Charité surnaturelle, la « victime d’holocauste à l’Amour divin » ne connaît plus rien d’ici-bas, pour être plongée dans l’expérience parfaite de Dieu, qui détruit la nature pour l’assomptionner en la Fournaise ardente du Cœur de Dieu, comme l’atteste l’exemple de la vie de sainte Thérèse elle-même. A ce titre, cette doctrine spirituelle, réputée « voie certaine de salut » (Pie XI), s’avère être l’une des plus difficiles à pratiquer, étant donné l’attachement foncier à soi-même qui caractérise la créature humaine.

En réalité, rien n’est plus simple que de mourir d’amour en Dieu, mais rien n’est plus difficile à vouloir, c’est-à-dire à réaliser. L’état d’enfance spirituelle ne peut se singer : s’il n’est pas une illusion, alors il ne laisse à celui qui l’a réalisé aucune possibilité de retour sur soi. L’enfance spirituelle, c’est la mort du moi, de son orgueil, de sa volonté, de ses désirs, de ses curiosités, etc., et c’est la vie du Christ en l’âme et par l’âme – du Christ seul !

Puissent ces pages, avec l’aide du Saint-Esprit, donner un aperçu de ce qu’est la vie chrétienne authentique : « la voie de l’humilité et de la simplicité de cœur » – dont l’orgueil de la vie est l’exact contraire.


14,8 x 21 cm
257 pages
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mercredi 21 septembre 2011

L’essentiel des ŒUVRES DE JOSEPH DE MAISTRE

Ce volume, composé originellement par l’Abbé Migne, regroupe les œuvres principales du plus grand des penseurs de la contre-révolution : le comte Joseph de Maistre (1753-1821) :

CONSIDERATIONS SUR LA FRANCE ;
PRINCIPE GENERATEUR
DES CONSTITUTIONS POLITIQUES, ETC. ;
DELAIS DE LA JUSTICE DIVINE ;
DU PAPE ;
DE L’EGLISE GALLICANE.

Il est sans doute inutile de faire à nouveau la présentation de cet auteur exceptionnel, dont les écrits constituent providentiellement le dernier témoignage de l’éclat et de la subtilité du sensus traditionnel. Après lui, la dégénérescence de la forma mentis traditionnelle s’est amorcée. Les auteurs qui l’ont suivi, même ceux qui se sont réclamés de lui, n’ont ainsi jamais cessé d’offrir au peuple catholique des conceptions toujours plus affadies de la normalité traditionnelle, à mesure qu’ils intégraient des conceptions philosophiques qui, pour être en réaction contre la Modernité, n’en restaient pas moins modernes elles-mêmes. Donc illégitimes.

De nos jours – alors que, en post-modernité, la Synthèse amorce son œuvre de « réconciliation » entre les éléments antagoniques (Thèse et Antithèse) qui ont contribué à l’animation de la première dialectique de la société fille de la Révolution –, la « pensée » de Joseph de Maistre fait l’objet d’un regain d’intérêt, tant il est vrai que la « fin des idéologies » a permis une « décomplexion » vis-à-vis de ce qui avait été honni jusque-là comme « réactionnaire ». Or, cette « redécouverte » n’a rien de propre à réjouir les catholiques fidèles à l’Eglise de toujours, puisque, loin d’être l’amorce d’une conversion à la Vérité éternelle – Notre-Seigneur Jésus-Christ –, elle est plutôt le signe de l’avancée triomphante de la confusion, sceau de l’apostasie, laquelle ne craint désormais plus de faire mine d’ « intégrer » jusqu’à la pensée traditionnelle elle-même dans le grand panorama synthétique, qui doit faire le lit de l’Antéchrist…

Ce reprint n’a d’autre fin que de rendre disponible une édition catholique des œuvres principales d’un auteur qui devrait se lire comme un témoin, et non comme un penseur original, fût-il génial !


21,5 x 28 cm. Edition reliée.
326 pages.



Texte sur deux colonnes.
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vendredi 16 septembre 2011

Traité du Signe de la Croix, R. P. Nicolas Collin

Le Signe de la Croix est le moyen préternaturel par excellence que le Christ a donné à ses disciples et sujets pour s’approprier la puissance et la vertu du triomphe sur ses ennemis qu’il a remporté au Calvaire.

Composé dans la plus pure tradition scolastique, le traité du R. P. Collin constitue un ouvrage théologique de référence sur le Signe de la Croix, le grand sacramental de la religion chrétienne.

Loin de faire double emploi, il fournit à l’ouvrage bien connu de Mgr Gaume un complément systématique bienvenu.




15,5 x 23 cm, 390 pages
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Traité du Pain-béni, R. P. Nicolas Collin

Dans le présent traité, le R. P. Collin, établit, contre les hérétiques et les novateurs, la doctrine catholique du Pain-béni, du triple point de vue historique, polémique et moral.

Quelque peu perdu de vue, parfois même de la part des clercs traditionnels, l’usage qui consiste à bénir des pains afin de confectionner un sacramental particulièrement puissant non seulement trouve ici son exposition doctrinale, mais encore apparaît comme le complément quasi nécessaire de l’Eau bénite.

Si cette dernière tient son efficace de l’eau sacrée du Baptême, par laquelle Dieu donne la vie surnaturelle aux créatures humaines, le Pain-béni – aussi appelé Eulogie – dérive, quant à lui, de rien moins que de l’auguste Sacrement de l’Eucharistie, le « Pain suressentiel » – Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même.

Réservé aux baptisés, au point qu’il était, dans l’Eglise antique, refusé aux catéchumènes, le Pain-béni est un sacramental destiné non seulement à sacraliser les repas des chrétiens, mais encore à remettre les péchés véniels, et aussi à combattre les incursions démoniaques dans le corps et l’âme – qu’il s’agisse de maladies, d’obsessions ou même de possession.



15,5 x 23 cm, 368 pages
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Traité de l’Eau bénite, R. P. Nicolas Collin

Dans le présent traité, le R. P. Collin, établit, contre les hérétiques et les novateurs, la doctrine catholique de l’Eau bénite, du triple point de vue historique, polémique et moral.

Pour établir que cet usage s’impose, pour ainsi dire, de lui-même, à l’homme religieux, il commence par mentionner les diverses formes d’eaux consacrées que l’on trouvait dans l’Antiquité. Puis, passant à la vraie religion, il montre les rapports étroits qui unissent les rituels de l’Ancienne Loi (eau mêlée de sang, eaux lustrales, eau d’expiation, etc.) avec les quatre types d’eaux lustrales de la Nouvelle Loi (aqua benedicta, eau baptismale, eau grégorienne, eau signée).

Le chrétien trouvera dans ce traité un excellent résumé de ce qu’il faut savoir sur ce sujet. L’ouvrage de Mgr Gaume (XIXème s.) sur le même thème constituera un complément appréciable, sans pour autant faire perdre à celui-ci, rédigé dans un contexte différent (XVIIIème s.), son opportunité.




15,5 x 23 cm, 387 pages
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samedi 3 septembre 2011

De la dévotion aux Agnus Dei, Mgr X. Barbier de Montault

Cet opuscule est un résumé fort instructif de ce qu’il faut savoir du puissant sacramental qu’est l’Agnus Dei.

Il traite aussi bien de sa fabrication que de son symbolisme, de ses vertus et de ses usages que de Droit canon et de liturgie.

L’auteur montre l’insigne nature de cette véritable arme spirituelle, intimement liée à l’Agneau de Dieu, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, le Rédempteur du monde et Souverain Maître de l’univers.




10,8 x 17,5 cm
86 pages

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lundi 15 août 2011

Le Magnificat, commentaire par saint Jean Eudes

Les ennemis de l’Eglise de Notre-Seigneur Jésus-Christ (à défaut de l’église imaginaire qu’ils affectaient de défendre) ont toujours abhorré ce qu’ils appelaient le « venin du Magnificat ». Le cantique de la Très Sainte Vierge Marie – le cantique par excellence, pourrions-nous dire – est en exécration aux orgueilleux, c’est-à-dire à ceux qui n’envisagent les choses que dans la perspective horizontale, à l’exclusion de la perspective verticale, qui est celle de la Révélation – la seule qui soit objective.

Le Magnificat est le cantique de la Bienheureuse Vierge Marie ; à ce titre, il est l’écho du triomphe sur le Serpent Ancien de l’Immaculée Conception, la Sagesse créée, parèdre de la Sagesse incréée, le Verbe divin, le Fils éternel de Dieu. Les discours de type nietzschéen qui dénigrent la notion d’humilité qui caractérise le christianisme commettent un contresens fondamental, en ce qu’ils méconnaissent que, loin d’être une attitude veule et aisée, la pratique de l’humilité n’est rien moins que purement divine, c’est-à-dire noble et difficile. Surhumaine, oserions-nous dire ; en tous cas, surnaturelle. L’humilité de la Bienheureuse Vierge Marie est la manifestation, pour ainsi dire « en creux », de la toute-puissance du Verbe éternel de Dieu.

Voilà pourquoi saint Jean Eudes affirme, avec tous les Pères, que l’humilité mani-festée par la sainte Vierge est l’expression temporelle de la Force même de Dieu : « Il y a longtemps que le ciel et la terre seraient réduits à néant, duquel ils ont été tirés, si Marie ne les avait pas soutenus ». Aussi, Dieu prise-t-il l’humilité avant même la pureté, sachant que sans elle, le Saint-Esprit ne serait pas descendu sur la Servante du Seigneur pour la révéler Mère de Dieu, selon l’affirmation de saint Pierre : « Dieu résiste aux orgueilleux, mais c’est aux humbles qu’il donne sa grâce » (I Petr. V, 5).

C’est cette humilité – que la Mère de Dieu a, par anticipation, imité de son divin Fils lors de sa carrière terrestre – que le chrétien doit mettre en pratique, de peur de n’être pas reconnu par le souverain Juge lors du Jugement dernier.

Cantique de la libération absolue de toutes les limitations dues à l’espace et au temps depuis la chute, limitations existentielles causées par le moi, synthèse des trois concupiscences, le Magnificat est à la fois action de grâces et chant de triomphe du baptisé sur ce que
Bossuet appelle le monde du diable, cette surimposition trompeuse que projette la chair sur la création de Dieu, et qui détourne l’âme de sa finalité surnaturelle.

Ce commentaire, pour succinct qu’il soit, n’en demeure pas moins un aide assuré pour la vie chrétienne, qui a pour commencement et pour fin le Christ lui-même.




15,5 x 23 cm
37 pages
9,50 €
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samedi 30 juillet 2011

R. P. Lebesconte, CJM, La spiritualité de saint Jean Eudes

La vie d’identification à Notre-Seigneur Jésus-Christ est pour ainsi dire le cœur de la doctrine chrétienne. Loin d’être une morale de l’action, une « philosophie de vie », un « supplément d’âme », le christianisme est essentiellement l’Alliance de Dieu avec le peuple qu’il s’est choisi, et qu’il a fait passer de la mort à la vie par le sacrement de Baptême, pour faire de ses élus rien moins que des « humanités de surcroît » de son Fils éternel.

Les enseignements de saint Jean Eudes, dont le présent opuscule se veut un résumé succinct, sont presqu’entièrement consacrés à l’exposition de cette doctrine divine. « Doctrine sublime de saint Paul que saint Augustin et saint Thomas avaient si bien traitée dans leurs œuvres, et dont saint Jean Eudes a fait plus que tout autre, croyons-nous, le centre de sa sublime spiritualité. »

Le lecteur trouvera aux mêmes Editions le traité du saint sur le Contrat de l’homme avec Dieu par le saint Baptême, ainsi que le précieux opuscule du R. P. Paul de Jaegher, La vie d’identification au Christ Jésus, que l’auteur désigne comme un exposé magistral de la doctrine de saint Jean Eudes.


15,5 x 23 cm
39 pages
9,50 €
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R. P. Félix Anizan, Qu’est-ce que le Sacré-Cœur ?

Dans Qu’est-ce que le Sacré-Cœur ?, le R. P. Félix Anizan se livre à un examen théologique approfondi de la question de la nature exacte de l’objet de la dévotion au Sacré-Cœur.

Alors que l’on pourrait avoir tendance à considérer le mystère du Sacré-Cœur comme une illustration quelque peu sentimentale de l’amour de Dieu, le R. P. Anizan, Autorités à l’appui, établit clairement – et conformément à la révélation originelle, expliquée par le Magistère – que « le Sacré-Cœur est vraiment Jésus-Christ manifesté dans l’amour qu’Il symbolise en son cœur ». La thèse principale de l’auteur, thèse dont les conséquences théologiques, liturgiques, dévotionnelles (mais aussi politiques) comptent parmi les plus importantes pour notre temps, est que le Sacré-Cœur, c’est Jésus lui-même.

Puisse la réédition de cet opuscule où la Science sacrée déploie ses ailes majestueuses contribuer à restituer à la doctrine du Sacré-Cœur son amplitude doctrinale, sans laquelle elle est comme vidée de sons sens.

Paru aux mêmes Editions : En Lui, R. P. Félix Anizan, OMI



15,5 x 23 cm
184 pages
18,50 €
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Vie de sainte Marguerite-Marie Alacoque, écrite par elle-même (texte authentique)

Voyante hors du commun, favorisée de la révélation majeure pour les derniers temps – l’Amour de Notre-Seigneur Jésus-Christ révélé par son Sacré-Cœur –, sainte Marguerite-Marie Alacoque, contrairement à une foule de pseudo-mystiques, à l’imagination aussi débordante que leur vanité, a toujours connu la plus vive réticence à mettre par écrit les extraordinaires faveurs dont Dieu l’a comblée. C’est contrainte par le vœu d’obéissance qu’elle a finalement mis par écrit les pages que le lecteur trouvera dans le présent livre, pour la plus grande gloire de Dieu et l’édification des âmes.
Puisse la réédition de ce texte encourager le « petit troupeau » qui reste fidèle au Sacré-Cœur de Jésus à vivre de Celui-ci, et à l’aimer jusqu’à ce que cette Fournaise ardente de Charité le consume dans l’union salvifique, qui le mettra définitivement à l’abri des vicissitudes de la « vallée de larmes » qu’est le monde sans


15,5 x 23 cm
178 pages
18,50 €
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samedi 9 juillet 2011

La Très Sainte Vierge Marie, Saint Joseph, S. Joachim & Ste Anne

Ce volume regroupe les textes suivants, empruntés aux Petits Bollandistes de Mgr Guérin, ainsi qu’à d’autres auteurs traditionnels : Vie de la Très-Sainte Vierge Marie. — Saint Joseph. — Sainte Anne & Saint Joachim. — Le Saint Nom de Marie. — L’Immaculée Conception de la Sainte Vierge. — La Pureté de la Sainte Vierge. — Le Cœur Très-Pur de la Sainte Vierge. — La Présentation de la Très-Sainte Vierge. — L’Annonciation de la Sainte Vierge et l’Incarnation de N. S. J.-C. — Visitation de la Sainte Vierge à Sainte Élisabeth. — La Maternité de la Très-Sainte Vierge. — Notre-Dame des Sept-Douleurs. — L’Assomption de la Très-Sainte Vierge. — Le Patronage de la Sainte Vierge. — Notre-Dame du Mont-Carmel et le Saint Scapulaire. — Le Saint Rosaire.





15,5 x 23 cm, 360 pages

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samedi 4 juin 2011

Croix et Swastika en Chine, R. P. Louis Gaillard, SJ

Le présent volume, paru en 1904, est consacré à l’étude comparative de deux symboles que les missionnaires Jésuites ont trouvés lors de leur entrée en Chine. Le premier, le swastika, entretient avec le second, la croix, des rapports picturaux et sémantiques particulièrement étroits. La quasi-omniprésence des symboles cruciformes dans l’univers extrême-oriental a suscité le plus vif intérêt des théologiens, des liturgistes et des archéologues, en particulier le R. P. Louis GAILLARD.

Sinologue réputé, traitant de première main les matériaux et les observations rassemblés par ses confrères au fil des siècles, il nous livre ici une série d’analyses qui intéresseront tout particulièrement les lecteurs de Mgr GAUME. Sans s’aventurer à tirer des conclusions simplistes, le R. P. Gaillard n’en procure pas moins une analyse détaillée d’un certain nombre de représentations cruciformes, dans une optique traditionnelle.

La partie consacrée à la croix est remarquable. L’auteur y évoque la première évangélisation des contrées les plus reculées de l’Extrême-Orient, ainsi que les traces qui en demeurent jusqu’à nos jours, tant dans l’art que dans la chronique locale.
On y apprend, par exemple, comment les « chrétiens de saint Thomas », dont la croix était l’emblème distinctif, n’étonnèrent guère les païens, puisqu’ils ne firent que renouer avec la tradition des Juifs qui, venus avant l’ère chrétienne s’installer en Asie, vouaient déjà au signe du Tau une vénération particulière, en conformité avec l’Ancien Testament, d’ailleurs.

La dévotion, bien connue, des Jésuites envers le Sacré-Cœur les prédisposait à se livrer aux délicats travaux qui mènent à comprendre que, sous un certain nombre de déformations pictographiques, l’univers mental des chinois s’avérait profondément marqué par les vérités du christianisme, anciennement apporté dans ces contrées, dès les temps antiques de l’Eglise primitive.

L’auteur étudie aussi la présence de la croix dans la fascinante écriture chinoise, dans divers monuments et lieux sacrés, donnant par là même l’occasion de constater le rayonnement du Signe du Dieu Vivant dans l’univers entier.

Un précieux ouvrage, donc, propre à réjouir la foi du lecteur catholique !

15,5 x 23 cm, 270 pages


Abondamment illustré à chaque page


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jeudi 19 mai 2011

Simples conseils d’une Mère à ses filles, sur l’éducation des enfants

Dès les premières pages de ce livre, la lectrice comprendra vite que vivre chrétiennement ne consiste pas seulement à faire ses Pâques et assister à la Messe dominicale. C’est beaucoup plus ! Car la vie chrétienne c’est aussi laisser sa lumière briller aux yeux des hommes (S. Mt. V, 16) – en d’autres mots, permettre au Fils de Dieu de vivre sa vie au travers de la nôtre – afin que Dieu soit glorifié en toute chose.

Mais dans le contexte particulier de l’éducation des petits enfants, cet idéal pourrait paraître inaccessible s’il ne nous donnait pas le chemin tout tracé pour atteindre ce but.

En effet, l’auteur démontre, en cinquante et un chapitre et avec des détails parfois très terre-à-terre, que l’éducation chrétienne qui se fait pendant les sept premières années d’un enfant est cruciale pour former en lui un caractère qui soit typiquement chrétien.

Ainsi, nous verrons comment lui enseigner des vertus aussi fondamentales que l’humilité, l’obéissance et la crainte de Dieu ; comment lui inculquer l’abnégation, la discipline et la maîtrise de soi ; sans oublier l’art du contentement et la bonne habitude de vivre dans le souvenir de Dieu ; lui expliquer pourquoi il faut résister aux tentations mais aussi savoir reconnaître ses fautes et en demander pardon ; mais aussi, être zélé pour son Dieu et accomplir son devoir d’état avec courage ; et enfin, comment cultiver la joie et l’enthousiasme dans son cœur pour le rendre capable de faire les bonnes œuvres dont il est capable ; sans oublier comment il doit attendre l’au-delà avec sérénité et la conscience en repos…

Mais, une telle vie chrétienne ne s’improvise pas. C’est pourquoi l’auteur affirme à maintes reprises, que c’est dès le plus jeune âge – « au berceau » ira-t-elle jusqu’à dire – que tout cela s’apprend.

C’est donc dans ce but que ces Conseils ont été rédigés, afin que, par des exemples concrets de la vie de tous les jours, les jeunes Mères chrétiennes soient aidées et encouragées dans leur tâche d’éducatrices pour « façonner » et « forger » le caractère de leurs enfants afin d’en faire de véritables chrétiens.

« Le livre que vous tenez en main n’est pas un livre comme les autres. En effet, c’est un recueil de conseils qui viennent du cœur d’une Mère pour ses filles – comme son nom l’indique. Aussi permettez-moi de vous appeler « mes filles » vous qui lirez ces lignes, puisque, comme toute Maman chrétienne qui se respecte, j’ai à cœur le salut de votre âme et de celle de vos chers petits enfants !

Vous remarquerez que ce livre est divisé en quatre parties, chacune dédiée à une période bien particulière de la vie de vos tout-petits. A chaque âge, les besoins sont différents mais, en fait, les principes demeurent toujours les mêmes ; en quelque sorte, on pourrait dire, qu’à chaque nouvelle étape vous construisez sur le fondement que vous avez posé dans la période précédente. Voilà pourquoi vous aurez besoin d’avoir ce volume à portée de main : le travail d’une Maman, dans l’éducation de ses petits est si complexe, c’est-à-dire qu’il contient tant d’éléments différents, que vous n’aurez pas trop d’avoir un Conseil, ici et là, pour vous encourager dans votre tâche.
» (Extrait du préambule.)


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Il est parfois difficile de trouver les mots pour « faire passer » la Doctrine aux enfants, d’une façon qui leur soit vraiment compréhensible. Aussi le présent ouvrage aura-t-il pour complément Le secret des enfants sages, paru aux mêmes Editions. Conçu à l’usage des Mamans, il reprend la plupart des thèmes abordés dans ce livre et les « traduits » en des termes simples adaptés aux enfants, fournissant ainsi aux Mères une synthèse doctrinale et pratique, qui leur facilitera grandement la tâche.


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L’Auteur, mère et grand’mère catholique expérimentée, nous fait partager les clefs d’une éducation chrétienne réussie, puisée aux sources-mêmes de la doctrine traditionnelle de l’Eglise.


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15,5 x 23 cm, 471 pages
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mercredi 18 mai 2011

Le Hijâb (حِجَاب). La conception islamique du vêtement expliquée aux catholiques

« Cet opuscule est le résultat d’une approche de la doctrine islamique du vêtement (hijâb), qui n’est pas loin d’être pour ainsi dire inédite. Un prêtre catholique s’est attelé à la tâche d’étudier ce point particulier de la religion musulmane, en partant non pas de considérations accidentelles et extérieures, mais des textes mêmes qui font autorité pour l’ensemble des musulmans. Autrement dit, il s’agit d’une étude la plus objective possible – autant que cela est permis à un chrétien – de la lettre et de l’esprit islamiques.

Est-il besoin de rappeler que le christianisme, de même que l’islam, n’ont pas attendu l’avènement de la Modernité et de ses idées pour exister ? Tous deux existaient bien avant elle. Or, pour évidente que puisse paraître cette constatation, bien peu de théologiens chrétiens actuels – mais aussi bien peu d’universitaires, d’hommes politiques, etc. – songent que le simple fait d’aborder une religion avec l’arsenal des présupposés modernes disqualifie d’office l’intelligence, puisque le bon sens requiert avant tout que, pour comprendre un discours tenu, l’auditeur commence par faire silence, afin de s’appliquer à écouter. Mais pour écouter, il faut posséder un ensemble de concepts, sinon communs, du moins analogues, afin que, entendu dans son mode propre, le discours puisse être, dans les oreilles de l’auditeur, autre chose qu’un ensemble indistinct de concepts rejetés en bloc a priori.

Car, après tout, c’est encore un croyant qui est le plus susceptible de comprendre analogiquement un croyant d’une autre religion.

C’est pourquoi cette étude s’adresse aussi aux modernes – athées, mécréants, agnostiques, etc. –, aussi peu familiers de l’islam et de sa forma mentis (configuration mentale) que du christianisme et de la sienne. Ces pages pourront leur permettre de découvrir, par un exposé scientifique, ce que l’islam dit de lui-même, de sorte que, s’ils sont honnêtes, un certain nombre d’erreurs récurrentes à propos du hijâb puissent être dissipées, et que les esprits puissent ainsi cesser de tomber dans les ornières de l’incohérence mentale.

L’auteur parvient ainsi à une série de conclusions qui ne seront pas sans étonner non seulement les modernes, mais aussi les catholiques de tous bords, à commencer par ceux qui se veulent traditionnels. »






15,5 x 23 cm, 155 pages
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mardi 18 janvier 2011

Les Anges gardiens. Lectures théologiques, ascétiques et historiques

Le présent traité sur les Anges gardiens, d’un auteur italien anonyme, combine à merveille un exposé doctrinal succinct et orthodoxe de la doctrine catholique sur les Etres spirituels commis par la Providence à la protection des êtres humains, avec une multitude d’exemples tirés de l’hagiographie, qui viennent l’illustrer et, en quelque sorte, apporter la preuve expérimentale de la véracité de l’enseignement traditionnel.

Loin des élucubrations aussi dangereuses qu’ignorantes des auteurs modernes sur ce sujet dont seule la Tradition traite avec intelligence et à propos, cet ouvrage sur les Anges gardiens sera d’une grande utilité au chrétien pour mieux connaître et mieux vénérer cet indéfectible et précieux Compagnon.

Reprint de l’édition parue à Avignon chez Seguin aîné, 1856.

10,8 x 17,5 cm
414 pages




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Abbé Scheeben, Les merveilles de la Grâce divine

L’ouvrage de l’Abbé Matthias-Joseph Scheeben, Les merveilles de la Grâce divine, fait partie de ces livres précieux, que tout chrétien se devrait de méditer sans relâche.

Dans le contexte délétère de confusion établi par la Modernité, la doctrine de la Grâce apparaît comme un « signe de contradiction ». En effet, alors que la pensée apostate prétend garantir à l’homme sa dignité, un tel texte rappelle que la dignité de l’homme consiste essentiellement dans son théomorphisme, sa création à l’Image de Dieu, et donc dans sa capacité à s’élever au-dessus de lui-même en Dieu. Alors que les divers spiritualismes qui ont cours actuellement remettent au goût du jour la proposition du Serpent Ancien, l’Abbé Scheeben évente la ruse – non pas maladroitement, en niant abruptement la réalité de la divinisation, mais en soulignant à l’instar de Bossuet, que la question n’est pas de déterminer si l’homme peut devenir « Dieu par participation » (cf. S. Jean de la Croix), mais à quelle condition cela peut se réaliser réellement.
Hors de l’Eglise, il n’est ni salut ni sainteté ni divinisation : l’Abbé Scheeben expose avec la rigueur du Théologien et la perspicacité du Directeur la doctrine de cette Expérience de Dieu qui fait les saints.

Les merveilles de la Grâce divine traite donc de ce qui constitue le cœur du christianisme. L’auteur « répète avec les Pères : Dieu s’est fait homme pour que l’homme devienne Dieu ». Il met en évidence que la fin de l’Incarnation est l’élévation de la nature humaine à la participation de la Nature divine.

Le lecteur qui a déjà connaissance du Traité de la concupiscence de Bossuet, paru aux mêmes Editions, appréciera l’harmonieuse continuité de pensée, qui fait des Merveilles de la Grâce divine un ouvrage vraiment fidèle à l’esprit de la Tradition. L’auteur expose ce qui fait non seulement le propre de la Religion chrétienne, mais encore son efficace : la transformation de la créature en Dieu, son unique Finalité.

15 x 21 cm , 530 pages.

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