vendredi 16 novembre 2012

Images de la Vie de Notre-Seigneur Jésus-Christ et des saints Apôtres. 56 tableaux en couleur.

Cet album contient cinquante-six tableaux en couleurs, illustrant des épisodes de la vie divine de Notre-Seigneur Jésus-Christ et des saints Apôtres. Finement exécutés, ils donneront à tout un chacun un aperçu aussi esthétique qu’édifiant de cette époque à la fois reculée et toujours présente au cœur des fidèles catholiques, qui eut le bonheur insigne – encore que largement méconnu – d’être le théâtre des actes terrestres du Verbe incarné et de la croissance de l’Eglise, durant le fructueux ministère des hommes qu’Il a revêtus de son Autorité et envoyés baptiser et enseigner toutes les nations au Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Chaque image est accompagnée d’un extrait en Latin et en Français du Texte sacré dont elle est tirée(traduction de l’Abbé Glaire).

Grand format relié
21,5 x 28 cm
120 pages
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jeudi 1 novembre 2012

Le Catéchisme en images (112 gravures), par l’Abbé M. B. Couissinier

(Dessiné par G. R. Elster, et gravé par Richard Brend’amour, sous la direction de l’Abbé M. B. Couissinier.)

Ce Catéchisme possède l’avantage de présenter les principaux points de doctrine et de morale catholiques au moyen de judicieuses et pertinentes illustrations tirées des deux Testaments. « Le livre que nous offrons au public, lit-on dans la préface, n’est pas, comme on pourrait le croire à première vue, un simple Album destiné à amuser les enfants ou les amateurs de gravures. C’est une œuvre sérieuse que nous avons longtemps méditée, que nous n’avons entreprise qu’à la recommandation d’un très-grand nombre de Prélats éminents, et dont, à vrai dire, nous attendons les meilleurs résultats pour l’instruction religieuse de tous les chrétiens.

En publiant un Catéchisme en images, nous n’avons pas la prétention de le substituer aux Catéchismes ordinaires, qui sont et qui seront toujours d’une indispensable nécessité. Notre but, plus modeste, est de venir en aide aux personnes qui s’appliquent à enseigner les premiers éléments de la Doctrine chrétienne, et de leur fournir le moyen de rendre facile, agréable et même attrayante une étude pour laquelle certains esprits n’éprouvent malheureusement que de l’aversion et du dégoût. »

Ainsi, en une leçon, le catéchiste sera-t-il à même d’exposer à la fois le Dogme salutaire et l’Histoire sainte, non moins utile pour l’enracinement du chrétien dans la Charité.

15 x 23 cm, papier ivoire,
236 pages
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mercredi 24 octobre 2012

Noël, par Mgr Guérin


Ce Volume regroupe les biographies et textes suivants, empruntés aux Petit Bollandistes de Mgr Guérin, ainsi qu’à d’autres auteurs traditionnels : La Nativité de Notre-Seigneur, Les Saints Innocents; De la circoncision de N.-S. Jésus-Christ et du nom adorable de Jésus qui lui fut donné; L’Épiphanie de Notre-Seigneur ou l’Adoration des Rois; La Purification de la Sainte Vierge. En appendice : Saint Nicolas de Patare; Saint Blaise, Évêque et martyr.

15 x 21 cm, 100 pages
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Sylva Allegoriarum totius Sacræ Scripturæ

Sylva Allegoriarum totius Sacræ Scripturæ, mysticos eivs sensus, et magna etiam ex parte literales complectens, synceræ Theologiæ candidatis perutilis, ac necessaria. Autore F. HIERONYMO LAVRETO CERUARENSI, Monacho Benedictino in Cœnobio Montisserati, & Abbate Monasterii S. Felicis Guixolensis.

4 volumes (604 + 567 + 768 + 70 pages)
21,5 x 28 cm, reliés
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Solida et absoluta Isagoge seu Introductio in Sacras Literas et mystico sacræ Scripturæ intellectus

Solida et absoluta Isagoge seu Introductio in Sacras Literas et mystico sacræ Scripturæ intellectus libri XIX. Authore Sante Pange Lucensi (édition de 1563).

2 volumes (460 + 450 pages)
21,5 x 28 cm reliés
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lundi 22 octobre 2012

Actes de Pie VI

Collection générale des Brefs et instructions de notre très-saint Père le pape Pie VI, relatifs à la Révolution française. Traduction nouvelle avec Epître dédicatoire, Discours préliminaire, Tables chronologiques, Observations historiques et critiques, Suppléments, Notice des ouvrages publiés pour ou contre les Brefs de N. S. P. le Pape, et Tables alphabétiques pour tout l’ouvrage.
2 volumes, 623 + 769 pages
15,7 x 23,5 cm. Reliés.
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lundi 15 octobre 2012

Petit Catéchisme liturgique, par l’Abbé Henri Dutilliet

Petit Catéchisme liturgique, par l’Abbé Henri Dutilliet, du diocèse de Versailles. Cinquième édition revue, corrigée et augmentée d’un catéchisme du chant ecclésiastique par A. Vigourel, Directeur du chant et Maître de cérémonie au Séminaire Saint-Sulpice. Préface par J.-K. Huysmans.

Qu’est-ce que la Liturgie, sinon l’ensemble des Rites sacrés qui font descendre le Ciel sur la terre, afin que la terre monte au Ciel ? La Liturgie est la source du Dogme ; cette maxime traditionnelle témoigne non seulement de l’origine divine du Rite, antérieur à toute rationalisation (au meilleur sens du terme), mais encore de l’efficience des cérémonies dont l’action rituelle est le déploiement.

Révélée par Dieu seul, instituée par le Verbe fait chair, la Liturgie est véritablement une œuvre plus divine qu’humaine, car le Clergé orthodoxe et valide qui l’accomplit agit alors in persona Christi – en lieu et place du Christ lui-même, auquel il s’identifie jusqu’à l’occultation momentanée des caractéristiques de l’humaine nature.

A proprement parler, en tant qu’action céleste, la Liturgie n’a pas à être connue dans les détails par ceux qui en bénéficient. L’Eglise ne demande du fidèle que la Foi et la dévotion. Mais comme cette dernière, surtout en climat moderne, se trouve souvent polluée par les interférences de l’ignorance constituée, il n’est pas inutile que les fidèles possèdent quelques notions fondamentales sur les raisons et les moyens de la Liturgie. Tel est donc l’objectif de ce Petit Catéchisme liturgique.

10,8 x 17,5 cm
211 pages
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Recueil des Allocutions consistoriales, Encycliques, etc. de Clément XII, Benoît XIV, Pie VI, Léon XII, Grégoire XVI et Pie IX citées dans l’Encyclique et le Syllabus

Recueil des Allocutions consistoriales, Encycliques et autres Lettres apostoliques des Souverains Pontifes Clément XII, Benoît XIV, Pie VI, Léon XII, Grégoire XVI et Pie IX citées dans l’Encyclique et le Syllabus du 8 décembre 1864. 587 pages, 15,7 x 23,5 cm. Relié.

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Saint Denys l’Aréopagite, premier évêque de Paris, par l’Abbé J.-E. Darras

Les Editions Sainte-Agnès ont récemment réédité la traduction du corpus des œuvres complètes de saint Denys l’Aréopagite par Mgr DARBOY. Ce dernier, dans son introduction, a brillamment défendu l’authenticité de la paternité de l’illustre disciple de saint Paul. En effet, depuis la fin du Moyen Age, presque tous ceux qui ont cherché à réformer l’Eglise et la théologie traditionnelle ont cherché à discréditer celui qui compte parmi les auteurs ecclésiastiques les plus profonds et les plus sublimes.

De nos jours, plus personne ne doute que les écrits du « pseudo-Denys » ne sont qu’un vulgaire plagiat des thèses « néo-platoniciennes », grossièrement introduites dans le Saint des Saints par un parfait inconnu du IVème siècle… Nonobstant les savantes études traditionnelles qui, au cours de ces derniers siècles, ont vengé la Tradition des calomnieuses attaques des modernes, on trouve parfois chez ceux-là même qui font profession d’antimodernisme l’opinion aussi démente que farfelue que « Denys » est non seulement un faussaire mais encore un « agent infiltré » qui a répandu le venin gnosticiste au cœur de la mentalité chrétienne – agent enfin démasqué par… la critique historique, par ailleurs le pire ennemi de la Tradition…

Le lecteur se reportera donc à l’introduction précitée afin de constater non seulement l’orthodoxie – ce qui est peu dire – mais encore l’origine divine des enseignements de celui qu’un saint Thomas d’Aquin cite presque aussi souvent que saint Augustin.

L’objet du présent ouvrage a trait à la seconde injustice dont le disciple de saint Paul est victime de la part de l’impiété moderne, c’est-à-dire la négation de son envoi en mission évangélisatrice dans la Lutèce antique par saint Pierre lui-même. Alors même que, sous la pression de la critique, nous dit l’Abbé DARRAS, l’origine apostolique de l’évangélisation de Paris était largement abandonnée en France, le Magistère « s’est toujours refusé à repousser au IIIème siècle la date de l’origine de la foi dans les Gaules ». Les pages qui suivent constituent une étude des raisons qui font que, de nos jours, on ne peut échapper au reproche de collusion avec le modernisme, et de mensonge éhonté, lorsque l’on nie l’identité du disciple de saint Paul mentionné dans les Actes des Apôtres avec le rédacteur du corpus dionysien et le noble martyr qui, décapité, porta son chef jusqu’au lieu où la Providence voulait que, plus tard, les Roys très-chrétiens fussent ensevelis jusqu’à la Résurrection des corps.

En conclusion, l’auteur déclare sans réplique : « L’Eglise devait donc à la vérité, elle se devait à elle-même de dire : Saint Denys, premier évêque de Paris, est le même que l’Aréopagite », confirmant « l’authenticité de nos traditions », et les vengeant « de l’oubli séculaire sous lequel on avait voulu les ensevelir. »

15 x 21 cm, 397 pages
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ACTES de S. S. Pie XI. (Série complète)

ACTES de S. S. Pie XI. Encycliques, Motu proprio, Brefs, Allocutions, Actes des Dicastères, etc. Avec une Table générale alphabétique.


18 tomes en 9 volumes, 629 + 577 + 688 + 645 + 499 + 640 + 650 + 629 + 633 (5590 pages).

15,7 x 23,5 cm. Reliés.

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jeudi 16 août 2012

Dictionnaire des antiquités chrétiennes, par M. l’Abbé Martigny

Dictionnaire des antiquités chrétiennes, contenant le résumé de tout ce qu’il est essentiel de connaître sur les origines chrétiennes jusqu’au moyen âge exclusivement, par M. l’Abbé Martigny

I. – Etude des mœurs et coutumes des premiers chrétiens.
II. – Etude des monuments figurés.
III. – Vêtements et meubles.

Le Dictionnaire des Antiquités chrétiennes « respire la piété, le respect des traditions ecclésiastiques, l’amour le plus ardent pour l’Eglise ». D’après Mgr Pie, évêque de Poitiers et futur cardinal, « cette publication, qui dénote un travail approfondi, n’a rien de commun avec toute sorte de compilations banales et superficielles ».

Il est bon de posséder, quelque part dans sa bibliothèque, un volume de ce genre, afin de pouvoir s’y reporter, en cas d’interrogation ou même de légitime désir d’instruction. Il devrait figurer parmi les ouvrages que l’on procure habituellement aux jeunes gens, lorsqu’ils sont arrivés à un âge où une certaine maturité intellectuelle leur permet d’apprécier la valeur inestimable des temps primitifs, où la foi était fleurissante et la majorité des chrétiens prête, à tout instant, « à rendre témoignage de sa foi », selon la recommandation de l’Apôtre.

Simple dans sa conception, clair dans sa présentation, le Dictionnaire des Antiquités chrétiennes est un beau monument d’érudition vraie, qui témoigne de la continuité de l’âme chrétienne de tous les siècles, et qui, en ces temps troublés, ne sera pas d’une petite utilité pour ceux qui entendent rester fidèles à l’enseignement des Prophètes et des Apôtres, garanti par l’infaillibilité du Souverain Pontife, le Christ étant la Pierre angulaire, qui jamais ne défaut.

15 x 23 cm, 694 pages
ouvrage accompagné de 270 gravures
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dimanche 15 juillet 2012

Analyse d’un ouvrage inédit du R. P. de Prémare, par l’Abbé A. Sionnet

Analyse d’un ouvrage inédit du R. P. de Prémare réédité par les Editions Sainte-Agnès : « Vestiges des principaux dogmes chrétiens retrouvés dans les anciens Livres chinois »

Cette petite brochure de l’orientaliste Abbé Sionnet constitue une présentation du bel ouvrage du R. P. de Prémare, sj, Vestiges des principaux dogmes chrétiens tirés des anciens livres chinois, réédité dans la même collection.

L’auteur y prend la défense de son confrère, en étayant la thèse des traces de la tradition adamique originelle qui se retrouvent dans les vestiges des paganismes, et notamment dans le Tao chinois. Cette opinion était déjà celle du bienheureux Père Ricci, sj, l’un des principaux artisans de l’introduction du christianisme dans l’Empire du Milieu.

Loin de faire double emploi avec le livre du R. P. de Prémare, il constitue en soi une intéressante étude introductive à ce sujet fort complexe.

15 x 21 cm
59 pages
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lundi 9 juillet 2012

Grammaire éthiopienne, avec chrestomathie et lexique, par le P. Marius Chaine sj

Grammaire éthiopienne, avec chrestomathie et lexique, suivis d’éléments bibliographiques, par le P. Marius Chaine sj

15 x 21 cm
320 pages
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vendredi 6 juillet 2012

Institutiones linguæ samaritanæ, par Friedrich Uhlemann

Institutiones linguæ samaritanæ ex antiquissimis monumentis erutæ et digestæ, integris paradigmatum tabulis indicibusque adornatæ ; quibus accedit Chrestomatia Samaritana maxima Geneseos partem et selecta relictorum Pentateuchi librorum capita complectens, notis criticis exegiticis illustrata et Glossario lucupletata a Friderico Uhlemanno

15 x 23 cm
551 pages
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vendredi 29 juin 2012

Les traditions messianiques, ou démonstration de la divinité du christianisme par le témoignage de tous les peuples de la terre, par Auguste Bedin

A propos des religions non-chrétiennes, de nos jours, deux opinions se heurtent de plein front dans le monde qui se veut catholique : d’un côté, ceux qui, ayant abandonné la vraie Foi, considèrent que toutes les religions se valent (plus ou moins, dans la mesure où les Droits de l’homme sont respectés), et qu’il y a une multitude de chemins qui vont au Ciel ; et de l’autre, ceux qui professent être attachés à l’Eglise romaine pour l’unique (et mauvaise) raison que le christianisme est la seule religion factrice de (vrai) progrès et exempte des superstitions qui avilissent l’humanité en général, ignorante qu’elle est du « miracle grec »...

Les uns et les autres se trompent également, les premiers en foulant aux pieds le dogme qui veut que le salut ne soit accessible que par l’Eglise catholique, ce qui fait d’eux des relativistes, et les autres, qui se montrent toujours prêts à mépriser Ancien et Nouveau Testaments au moindre signe de « barbarie », ce qui fait d’eux des néo-marcionites.

En réalité, depuis les Pères, l’opinion reçue a toujours été que les différentes formes de paganisme ne sont que des dégénérescences du dépôt de la vraie Religion, telle que les premiers Patriarches (Adam, Seth, Enoch, Noé, etc.) l’ont reçue de Dieu. Certes, les passions, l’infidélité, la stupidité, l’oubli humains, joints à l’action maligne des démons n’ont pas été pour rien dans la plongée des nations dans les ténèbres ; néanmoins, contrairement à la théorie couramment admise de l’invention de la religion par l’homme terrorisé par le spectacle de la nature hostile, (théorie qui s’accommode fort bien de l’idée que, face à ce chaos mythologique, l’Eglise a opposé l’ordre, la mesure et le génie gréco-latins), les meilleurs Auteurs catholiques s’accordent pour reconnaître qu’ « il n’y a jamais eu et qu’il n’y aura jamais qu’une seule religion, comme il n’y a jamais eu et qu’il n’y aura jamais qu’un seul Dieu ; que cette religion n’a pas été inventée par l’homme ; que ses dogmes ne lui sont connus que par l’effet d’une révélation positive et surnaturelle ; que tous les cultes, tous les dogmes de l’Antiquité profane ne sont que des travestissements du véritable culte, des imitations grossières, souvent d’affreuses parodies de ces vérités enseignées au premier homme, conservées dans l’ancienne Synagogue, développées par l’Homme-Dieu, et dont l’Eglise de Rome est aujourd’hui l’infaillible dépositaire. »

Dans la lignée d’un Joseph de Maistre, d’un Mgr Gaume ou d’un R. P. de Prémare, sj, pour ne pas dire d’un saint Augustin, M. Auguste Bedin s’attache à retrouver dans les Textes sacrés et les croyances des anciennes religions la trace – plus, même, les vestiges, dégradés mais bien présents – de la Religion qui fut donnée à l’homme dès lors que le Paradis terrestre fut gardé inaccessible par les Chérubins à l’épée flamboyante. Et cela, non pas pour « faire une moyenne » et se croire autorisé à dire sottement que « toutes les religions sont bonnes », mais bien pour établir d’une part que le christianisme n’est en aucun cas une doctrine nouvelle, novatrice et inouïe des Anciens, et d’autre part que la prédication de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui est celle de l’Eglise, est véritablement la restauration du dépôt patriarcal, l’accomplissement de la Loi et des Prophètes et la manifestation du Désiré des Nations, le Verbe fait chair et né de la Vierge Marie.

Ainsi, l’auteur établit-il, par exemple, que la Synagogue a toujours connu et professé – explicitement, quoique de façon mystérieuse – le dogme de la très sainte Trinité, affirmation si combattue par le libéralisme, qu’elle semble presque admise par les plus sincères.

Cette lecture aussi instructive que rafraîchissante peut donner au lecteur un aperçu de ce qu’était la mentalité catholique normale, avant que le libéralisme (maurrassien ou néo-moderniste) ne l’ait remplacée et anéantie.


15 x 21 cm
522 pages
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Les Noms de Jésus-Christ dans la Sainte-Ecriture, par Louis de Léon

Le Castillan Louis de Léon, entra en 1544 dans l’Ordre de saint Augustin, dont il fut l’un des plus grands théologiens, à l’égal de saint Thomas d’Aquin et de saint Bonaventure. Profondément versé dans l’Ecriture Sainte, il possédait à fond les trois langues hébraïque, latine et grecque.

Son ouvrage sur Les Noms de Jésus-Christ dans l’Ecriture Sainte est un extraordinaire traité sur le mystère du Nom de Jésus. L’approche qui en est faite est un modèle du genre, car elle relève de l’authentique intellectualité traditionnelle, c’est-à-dire la connaissance à la fois objective et intime du sujet abordé. Digne héritier de l’esprit d’un saint Bernardin de Sienne (1380-1444), l’auteur fait assurément partie des Maîtres catholiques qui ont livré aux âmes pieuses des considérations que n’auraient pas reniées un saint Denys ou un saint Bernard, bien au contraire. La connaissance du Nom divin jointe à l’invocation de celui-ci est source de salut, selon parole du prophète Joël : « Quiconque invoquera le Nom du Seigneur sera sauvé ».

Cependant, une telle invocation doit soigneusement se garder d’être profane ou sacrilège : à la profération du Nom de l’Ineffable Eternel, il est nécessaire et impératif d’adjoindre l’orthodoxie, la piété et la pureté de la vie, faute de quoi la puissance même du Nom ne laissera pas impuni l’impudent. L’orthodoxie de Louis de Léon, éprouvée par la Sainte Inquisition, dans les geôles de laquelle il perdit sa santé, ruinée par un séjour de soixante mois qu’il dut à la jalousie d’un jaloux envieux, a été pleinement mise en lumière et confirmée par les Autorités compétentes, de sorte que son traité des Noms de Jésus-Christ est un monument de catholicité, parfaitement fiable.

« Nulle part, peut-être, les hautes pensées de la Foi ne se trouvent développées avec plus de majestueuse ampleur ; nulle part l’esprit avide d’enseignements élevés ne puisera de plus fortes, de plus magnifiques, de plus fécondes images ; nulle part les Saintes-Lettres, les éternels conseils ou les actes visibles de la divine Puissance, de l’infinie Miséricorde, n’ont été plus saintement, plus profondément, interrogés, pénétrés, manifestés au monde. C’est de la théologie transcendante » (p. VIII).

Néanmoins, les considérations que le pieux lecteur trouvera dans le présent ouvrage sont devenues pour ainsi dire incompréhensibles pour le chrétien moderne, habitué à envisager les mystères de la Foi au moyen des instruments intellectuels glanés à l’école et hérités de l’air ambiant – en totale inadéquation et parfaite opposition avec la forma mentis traditionnelle. Aussi convient-il d’aborder les Noms de Jésus-Christ dans un esprit d’humilité, en rejetant l’idée qui pourrait lui venir que les belles considérations qu’il renferme sont un produit de l’imagination « poétique » d’un inspiré des temps préscientifiques.

Le traité des Noms de Jésus-Christ est, bien au contraire, d’une rigueur théologique intégrale, et répond aux canons de la SCIENCE SACREE les plus stricts. Aucune idée particulière, aucune « licence poétique », donc, dans ces pages. Tout ce qui est affirmé vient de la Tradition, au point que si l’on peut dire que Louis de Léon fut un immense théologien, c’est essentiellement parce qu’il n’avait en fait aucune opinion propre. Fils de l’Eglise, de ses Ecritures saintes, de ses Pères et de son Magistère infaillible, c’était là la condition pour être illuminé par l’Esprit de Dieu, et « comprendre, avec tous les Saints, quelle est la largeur et la longueur, la hauteur et la profondeur, et connaître aussi la charité du Christ, qui surpasse toute science » jusqu’à être « rempli de toute la plénitude de Dieu » (Eph. III, 18-19).


15 x 21 cm
581 pages
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dimanche 24 juin 2012

Brevis linguæ Samaritanæ grammatica, par Julius H. Petermann

Brevis linguæ Samaritanæ grammatica, litteratura, chrestomatia cum glossario, in usum prælectionum et studiorum.

En rééditant le précis de grammaire du Samaritain de l’orientaliste allemand Julius Heinrich Petermann (1801-1876), les Editions Sainte-Agnès rendent au public instruit un ouvrage devenu fort difficile à trouver, et qui sera d’un grand profit aux étudiants de la Langue Sacrée. Proche de l’Hébreu biblique, la langue samaritaine s’écrit en caractère hébraïques archaïques, à la fois parents de l’Hébreu carré et de l’alphabet phénicien, dont sont dérivés les alphabets grecs et latins.

15 x 21 cm
180 pages
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samedi 23 juin 2012

Catholicum lexicon hebraicum et chaldaicum de Paul L. B. Drach

Catholicum lexicon hebraicum et chaldaicum in Veteris Testamenti Libros, hoc est : Guillelmi Gesenii Lexicon Manuale hebraico-latinum ordine alphabetico digestum, ab omnibus rationalisticis et antimessianis impietatibus expurgavit ; emendavit, expulsis novis et antehac inauditis sensibus a viro protestanti excogitatis et temere obtrusis, veteris autem traditionis et ss. ecclesiæ patrum interpretationibus restitutis et propugnatis ; multisque additionibus philologicis illustravit et exornavit Paulus L. B. Drach


21,5 x 28 cm, relié
670 pages
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Vies des Apôtres, par Mgr Guérin

Ce Volume regroupe les biographies et textes suivants, empruntés aux Petit Bollandistes de Mgr Guérin, ainsi qu’à d’autres auteurs traditionnels :



Saint Pierre, prince des Apôtres.
Saint Paul, Apôtre des Gentils.
Saint Jean, Apôtre et Évangéliste.
Saint Jacques le Majeur, Apôtre.
Saint André, Apôtre.
Saint Jacques le Mineur, Apôtre.
Saint Barthélemy, Apôtre.
Saint Matthieu, Apôtre et Évangéliste.
Saint Simon et Saint Jude, Apôtre.
Saint Thomas, Apôtre.
Saint Philippe, Apôtre.
Saint Matthias, Apôtre.
En appendice :
La Pentecôte.
Saint Barnabé, Apôtre.
Sainte Pétronille, vierge, fille de l’Apôtre Saint Pierre.
La conversion de Saint Paul.
Saint Jean, martyr devant la Porte Latine.

15 x 21 cm
302 pages
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vendredi 22 juin 2012

Principes de grammaire arabe, par l’Abbé J.-B. GLAIRE

Suivis d’un traité de la langue arabe considérée selon le système des grammairiens, avec des exercices d’analyse grammaticale.

15 x 21 cm
280 pages
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Manuel de l’hébraïsant, par l’Abbé J.-B. Glaire

Contenant : 1. des Eléments de Grammaire hébraïque ; 2. une Chrestomathie, ou recueil de morceaux choisis de la Bible, texte hébreu ; 3. un Lexique hébreu-français de tous les mots contenus dans la Chrestomathie.

15 x 21 cm
175 pages
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mercredi 30 mai 2012

Des oblations présentées au Souverain Pontife à l’occasion de la canonisation des Bienheureux, et de leur sens mystique, par D. Etienne Ciccolini, Prêtre romain

Notre-Seigneur Jésus-Christ, Roi universel des vivants et des morts, a explicitement commandé à ses fidèles de se faire de puissants Amis auprès des bienheureux Habitants du Ciel (S. Luc, XVI, 9). Aussi est-ce le propre de tout véritable chrétien, non seulement de prier et d’invoquer les Saints, mais encore de brûler des cierges devant leurs images, d’orner leurs autels et de faire des aumônes en leur nom et en leur honneur.

Ces saints que nous vénérons et aimons, c’est au cours d’un rituel sacré que le Souverain Pontife, le Vicaire du Christ sur la terre, les a publiquement reconnus dignes du culte de dulie. Assurément, ce n’est pas l’Eglise qui, de personnages quelconques, fait des saints ; le rôle du Magistère consiste essentiellement à reconnaître, de par son charisme d’infaillibilité, l’authenticité de l’œuvre souveraine et absolue du Saint-Esprit dans ces âmes privilégiées. Aussi, la cérémonie de canonisation est-elle une descente manifeste du Ciel sur la terre, la révélation d’une réalité céleste au profit des êtres en état de voie que sont les membres de l’Eglise militante.

C’est pour cette raison qu’un certain nombre de gestes mystérieux ont lieu à cette occasion, dont la signification mystique est propre à réaliser efficacement ce qu’ils désignent. Le petit ouvrage de l’Abbé Ciccolini dévoile la profondeur de ces cérémonies, qui, tout au long du temps qui nous sépare de l’Avènement glorieux de Jésus-Christ, nous ont indiqué à quels saints nous vouer, afin de pouvoir être reçu dans les « tabernacles éternels ».

10,8 x 17,5 cm
88 pages
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mardi 29 mai 2012

Spicilegium solesmense (de re symbolica), par le Cardinal Jean-Baptiste Pitra

Entre autres publications, on doit au cardinal Jean-Baptiste Pitra (1812-1889), moine de Solesmes, archevêque et cardinal de la sainte Eglise romaine, quatre volumes d’un Spicilegium solesmense, compilation de textes patristiques rares, collectés tant chez les Latins que chez les Grecs. Erudit hors pair, il a contribué au XIXème siècle aux derniers éclats de la science exégétique traditionnelle, alors que le libéralisme gagnait peu à peu les esprits. Si l’Abbé Migne, à la même époque, éditait ses inestimables Patrologies latine et grecque afin de mettre à la disposition du Clergé la sève même de la Tradition, Dom Pitra, quant à lui, exhumait pour la dernière fois les sources vives qui permettent d’intelliger les Saintes Ecritures dans l’Esprit qui les a souverainement dictées aux Prophètes et Evangélistes. C’est pour avoir rejeté cette Science sacrée comme enfantillages et délires fantaisistes que la Clef de la Tradition écrite a fini par être égarée – tant il est vrai que ce n’est que par la Lumière divine que l’on voit la Lumière de la Vérité, in lumine tuo videbimus lumen (Ps. xxxv, 10). En rééditant les deux volumes du Spicilegium consacrés aux res symbolica, les Editions Sainte-Agnès entendent restituer aux Ecclésiastiques un ensemble de textes, dont la moindre vertu est de constituer un antidote efficace contre les affabulations des pseudo-exégètes qui sévissent depuis trop longtemps déjà.

2 volumes reliés
21,5 x 28 cm
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vendredi 25 mai 2012

Les symboles de la Croix, par l'Abbé Boiteux

La Croix de Notre-Seigneur Jésus-Christ est au Ciel avant que d’avoir été sur la terre, et d’y demeurer encore sous diverses formes. Telle est la thèse que soutient l’auteur, appuyé sur les autorités de l’Eglise.

Loin de réduire la Croix à un « simple » instrument circonstancié de supplice – ce qui serait fort naturaliste –, l’Abbé Boiteux aborde le Signe de notre Rédemption dans une quadruple optique : celle de l’Histoire, de l’Economie, des Fruits et du Triomphe. Chaque point est étudié avec une maîtrise qui fait du présent ouvrage une précieuse ouverture sur les abîmes mystérieux que contiennent ces mots de la liturgie : Regnavit a ligno Deus, « C’est du Bois que Dieu a régné ».

Sous un aspect qui peut paraître de prime abord quelque peu naïf, l’Abbé Boiteux nous livre un véritable traité de symbolique chrétienne, dont la réédition, loin de s’adresser à la fantaisie ou à la curiosité des lecteurs, ne pourra que témoigner de la profondeur et de l’étendue de la Tradition chrétienne, principe d’une connaissance authentiquement salvifique car nourriture de la Charité, que dispense l’Arbre de la Science : « Si le fruit de l’arbre du Paradis terrestre a répandu l’ignorance sur la terre et a couvert le monde de ténèbres, celui du Calvaire éclaire la raison humaine, et dissipe le nuage qui lui cache le ciel » (p. 189).

Aussi est-ce bien en raison (et non en dépit) du fait qu’il est un traité de symbolique, que l’ouvrage de l’Abbé Boiteux parle le langage de la théologie dogmatique, de la cosmologie et de la mystique tout ensemble.

Trente-et-une compositions synthétiques viennent illustrer les propos de l’auteur.

Cette réédition est précédée d’une préface inédite, par un Prêtre.

15 x 21 cm,
386 pages
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jeudi 3 mai 2012

La théologie de Tertullien, par l’Abbé Adhémar d’Alès

La présente étude de l’abbé Adhémar d’Alès représente une sorte de somme sur la théologie de Tertullien. Cet auteur, que l’on range parmi les Pères de l’Eglise du IIème siècle, polémiste contre les païens mécréants mais aussi les hérétiques comme Marcion, n’est pas sans faiblesses sur certains points, que les Conciles des siècles ultérieurs devront clarifier. Il est donc vain de chercher à l’attaquer sur ces quelques sujets, comme ont tenté de le faire divers érudits libéraux. En revanche, lorsqu’il traite de la discipline ecclésiale, Tertullien s’avère un auteur de premier ordre, que son adhésion tardive au montanisme n’a pas réussi à discréditer. Il demeure une référence orthodoxe, cité par tout ce que l’Eglise compte d’auteurs fondamentaux, de saint Cyprien à Bossuet, en passant par Lactance, saint Hilaire, saint Jérôme et saint Augustin.
La pensée de Tertullien doit être sinon « replacée », comme disent les modernistes relativistes, du moins entendue dans le contexte de son temps. Sa mentalité n’est pas celle d’un homme moderne ; aussi, ses jugements, parfois inexacts, restent néanmoins bien plus sains et chrétiens que certains présupposés communément admis de nos jours par les catholiques, et qui pourtant n’ont aucun fondement traditionnel.
Par ailleurs, contre les affabulations des protestants, qui nient l’antiquité des usages catholiques, Tertullien est un témoin précis des mœurs des chrétiens des premiers âges : la messe envisagée comme sacrifice, la discipline de l’arcane, le signe de croix, le mariage comme Sacrement, la régénération baptismale, et surtout la foi à la Présence réelle de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans le Saint Sacrement.
On a parfois essayé de marginaliser Tertullien, faisant de ses écrits fulgurants un cas à part dans l’enseignement patristique. Le mérite de l’Abbé d’Alès est d’avoir montré que, au contraire, Tertullien, « avec des allures de génie, il fut beaucoup moins initiateur qu’admirable metteur en œuvre d’idées élaborées par de plus humbles penseurs », se faisant ainsi l’écho de ce que l’Eglise comptait de meilleur dans son siècle.

15 x 21 cm
559 pages
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vendredi 27 avril 2012

Grammaire copte, avec bibliographie, chrestomathie et vocabulaire, par le P. Alexis MAILLON SJ

Le copte n’est autre que la langue égyptienne dans sa dernière période. Après avoir été parlée jusque vers le XVIIème siècle, elle n’est plus désormais employée que par la liturgie des chrétiens d’Egypte. Cette grammaire fort complète sera d’une grande utilité pour ceux qui désirent connaître la langue des premiers chrétiens d’Egypte, mais qui s’intéressent aussi à la langue des Pharaons.

15 x 21 cm,
520 pages
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jeudi 26 avril 2012

Les Noms de Dieu, par le R. P. Léonard Lessius, SJ

« A l’exemple de saint Denys l’Aréopagite, dont la lecture, depuis cinquante ans, a pour moi un charme si merveilleux, je me suis déterminé à expliquer très brièvement les perfections divines ou les attributs donnés à Dieu par les Livres sacrés … afin que le lecteur puisse … comprendre ces divins attributs, s’en former une idée claire, en tirer des affections dignes d’un si haut sujet et, par cet exercice, rendre son esprit déiforme, ainsi que s’exprime saint Denys. »

Dans la première partie de cet ouvrage, le grand théologien jésuite que fut le R. P. Léonard Lessius ne commente pas moins de cinquante noms ou attributs divins que l’on trouve dans l’Ecriture sainte, dans la plus pure tradition dionysienne. La seconde partie est composée en forme de méditations, qui aidera à faire oraison sur ce qui constitue un des aspects les plus profonds et mystérieux de la religion chrétienne.



15 x 23 cm
334 pages
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samedi 10 mars 2012

Principes de grammaire hébraïque et chaldaïque, par M. l’Abbé J. B. Glaire




La collection Exegetica a pour but de contribuer à l’étude des Langues sacrées du christianisme. Cet ouvrage de l’Abbé Glaire permettra aux séminaristes de disposer d’un abrégé de grammaire hébraïque et chaldaïque fort utile dans les commencements.


15 x 21 cm,

166 pages

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Eléments de grammaire hébraïque, sous la direction de M. l’Abbé Rohrbacher



Pour une première approche de la langue du peuple de l’Ancienne Alliance, cet opuscule de l’Abbé Rohrbacher expose les bases de l’alphabet et de la grammaire hébraïque. Il constitue une introduction idéale pour les débutants.


15 x 25 cm,

55 pages

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samedi 3 mars 2012

De l’harmonie entre l’Eglise et la Synagogue, par Paul. L. B. Drach

On doit au Rabbin converti Paul-Louis-Bernard Drach (1791-1868) une somme de travaux exégétiques et théologiques d’une valeur inestimable sur la théologie hébraïque de la Synagogue, c’est-à-dire sur les textes et les doctrines qui proviennent directement de la Tradition de la première Alliance, dont les présents volumes constituent une partie considérable.

Paul Drach fait partie de ces enfants d’Israël que la grâce a touchés au XIXème siècle, et qui ont rappelé, comme tant d’autres avant eux, et non des moindres, que la vérité chrétienne n’est pas née avec la Nouvelle alliance, mais que l’œuvre du Verbe fait chair a confirmé et accompli ce que Dieu avait révélé au premier Patriarche, Adam, puis à ceux qui suivirent comme témoins de la vérité. C’est donc à juste titre que Paul Drach rappelle ces paroles du grand évêque d’Hippone : « La même religion, dit saint Augustin, que nous appelons maintenant religion chrétienne, était déjà celle des siècles anciens. Déjà son règne durait depuis les jours de nos premiers parents, lorsque le Verbe se fit chair et se manifesta au monde. Cet événement ne lui apporta, au fond, d’autre changement qu’une dénomination nouvelle. La vraie foi donc, qui existait depuis les premiers temps, commença alors à s’appeler religion chrétienne, afin d’annoncer à toute la terre que le Christ, pour nous ouvrir le royaume du ciel, est venu accomplir la loi et les prophètes, bien loin de les abolir. »

Rien n’est plus triste pour un chrétien que le spectacle de l’aveuglement du peuple d’Israël, sur les yeux duquel un voile est posé, selon les paroles de l’Apôtre. En effet, rappelle Paul Drach, « ainsi que l’Eglise avant que l’Evangile fût écrit, la Synagogue possédait d’abord une révélation divine toute de tradition, une loi purement orale. » Cette affirmation peut servir de résumé à tous les travaux de ce grand serviteur de la Vérité éternelle.

Ces deux volumes, depuis longtemps épuisés, intéresseront spécialement les exégètes hébraïsants et les théologiens, en apportant la réfutation péremptoire de la théorie libérale de l’évolution des croyances religieuses d’Abraham à Jésus. La Vérité ne varie jamais.

Puisse « notre Patriarche Abraham », comme le nomme le Canon du saint Sacrifice de la Messe et que le Martyrologe romain cite à la date du 9 octobre, intercéder spécialement pour l’Eglise en ces temps de confusion satanique.

Cette réédition est précédée d’un avant-propos inédit, par un Prêtre.


2 vol.,
15 x 21 cm, 618 + 537 pages
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