mardi 27 septembre 2011

L’esprit de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

Ce volume se présente comme un résumé de la doctrine de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, formé d’un compendium de citations, qui permet de saisir quelque chose de ce formidable témoignage de réalisation de la vie spirituelle.

La « voie de l’enfance spirituelle » culmine dans l’holocauste ou l’entière consumation dans l’Amour divin. Elle est une voie d’abandon qui mène au néant de soi et à la plénitude divine. A ce titre, elle est une imitation très exacte de Notre-Seigneur Jésus-Christ dans sa douloureuse Passion, c’est-à-dire une pratique du renoncement absolu à toute volonté propre, à tout désir propre, et surtout à toute prétention d’être un tant soit peu soi-même indépendamment de Dieu – de Dieu seul.

Parce qu’elle se consacre au feu dévorant de la Charité surnaturelle, la « victime d’holocauste à l’Amour divin » ne connaît plus rien d’ici-bas, pour être plongée dans l’expérience parfaite de Dieu, qui détruit la nature pour l’assomptionner en la Fournaise ardente du Cœur de Dieu, comme l’atteste l’exemple de la vie de sainte Thérèse elle-même. A ce titre, cette doctrine spirituelle, réputée « voie certaine de salut » (Pie XI), s’avère être l’une des plus difficiles à pratiquer, étant donné l’attachement foncier à soi-même qui caractérise la créature humaine.

En réalité, rien n’est plus simple que de mourir d’amour en Dieu, mais rien n’est plus difficile à vouloir, c’est-à-dire à réaliser. L’état d’enfance spirituelle ne peut se singer : s’il n’est pas une illusion, alors il ne laisse à celui qui l’a réalisé aucune possibilité de retour sur soi. L’enfance spirituelle, c’est la mort du moi, de son orgueil, de sa volonté, de ses désirs, de ses curiosités, etc., et c’est la vie du Christ en l’âme et par l’âme – du Christ seul !

Puissent ces pages, avec l’aide du Saint-Esprit, donner un aperçu de ce qu’est la vie chrétienne authentique : « la voie de l’humilité et de la simplicité de cœur » – dont l’orgueil de la vie est l’exact contraire.


14,8 x 21 cm
257 pages
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mercredi 21 septembre 2011

L’essentiel des ŒUVRES DE JOSEPH DE MAISTRE

Ce volume, composé originellement par l’Abbé Migne, regroupe les œuvres principales du plus grand des penseurs de la contre-révolution : le comte Joseph de Maistre (1753-1821) :

CONSIDERATIONS SUR LA FRANCE ;
PRINCIPE GENERATEUR
DES CONSTITUTIONS POLITIQUES, ETC. ;
DELAIS DE LA JUSTICE DIVINE ;
DU PAPE ;
DE L’EGLISE GALLICANE.

Il est sans doute inutile de faire à nouveau la présentation de cet auteur exceptionnel, dont les écrits constituent providentiellement le dernier témoignage de l’éclat et de la subtilité du sensus traditionnel. Après lui, la dégénérescence de la forma mentis traditionnelle s’est amorcée. Les auteurs qui l’ont suivi, même ceux qui se sont réclamés de lui, n’ont ainsi jamais cessé d’offrir au peuple catholique des conceptions toujours plus affadies de la normalité traditionnelle, à mesure qu’ils intégraient des conceptions philosophiques qui, pour être en réaction contre la Modernité, n’en restaient pas moins modernes elles-mêmes. Donc illégitimes.

De nos jours – alors que, en post-modernité, la Synthèse amorce son œuvre de « réconciliation » entre les éléments antagoniques (Thèse et Antithèse) qui ont contribué à l’animation de la première dialectique de la société fille de la Révolution –, la « pensée » de Joseph de Maistre fait l’objet d’un regain d’intérêt, tant il est vrai que la « fin des idéologies » a permis une « décomplexion » vis-à-vis de ce qui avait été honni jusque-là comme « réactionnaire ». Or, cette « redécouverte » n’a rien de propre à réjouir les catholiques fidèles à l’Eglise de toujours, puisque, loin d’être l’amorce d’une conversion à la Vérité éternelle – Notre-Seigneur Jésus-Christ –, elle est plutôt le signe de l’avancée triomphante de la confusion, sceau de l’apostasie, laquelle ne craint désormais plus de faire mine d’ « intégrer » jusqu’à la pensée traditionnelle elle-même dans le grand panorama synthétique, qui doit faire le lit de l’Antéchrist…

Ce reprint n’a d’autre fin que de rendre disponible une édition catholique des œuvres principales d’un auteur qui devrait se lire comme un témoin, et non comme un penseur original, fût-il génial !


21,5 x 28 cm. Edition reliée.
326 pages.



Texte sur deux colonnes.
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vendredi 16 septembre 2011

Traité du Signe de la Croix, R. P. Nicolas Collin

Le Signe de la Croix est le moyen préternaturel par excellence que le Christ a donné à ses disciples et sujets pour s’approprier la puissance et la vertu du triomphe sur ses ennemis qu’il a remporté au Calvaire.

Composé dans la plus pure tradition scolastique, le traité du R. P. Collin constitue un ouvrage théologique de référence sur le Signe de la Croix, le grand sacramental de la religion chrétienne.

Loin de faire double emploi, il fournit à l’ouvrage bien connu de Mgr Gaume un complément systématique bienvenu.




15,5 x 23 cm, 390 pages
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Traité du Pain-béni, R. P. Nicolas Collin

Dans le présent traité, le R. P. Collin, établit, contre les hérétiques et les novateurs, la doctrine catholique du Pain-béni, du triple point de vue historique, polémique et moral.

Quelque peu perdu de vue, parfois même de la part des clercs traditionnels, l’usage qui consiste à bénir des pains afin de confectionner un sacramental particulièrement puissant non seulement trouve ici son exposition doctrinale, mais encore apparaît comme le complément quasi nécessaire de l’Eau bénite.

Si cette dernière tient son efficace de l’eau sacrée du Baptême, par laquelle Dieu donne la vie surnaturelle aux créatures humaines, le Pain-béni – aussi appelé Eulogie – dérive, quant à lui, de rien moins que de l’auguste Sacrement de l’Eucharistie, le « Pain suressentiel » – Notre-Seigneur Jésus-Christ lui-même.

Réservé aux baptisés, au point qu’il était, dans l’Eglise antique, refusé aux catéchumènes, le Pain-béni est un sacramental destiné non seulement à sacraliser les repas des chrétiens, mais encore à remettre les péchés véniels, et aussi à combattre les incursions démoniaques dans le corps et l’âme – qu’il s’agisse de maladies, d’obsessions ou même de possession.



15,5 x 23 cm, 368 pages
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Traité de l’Eau bénite, R. P. Nicolas Collin

Dans le présent traité, le R. P. Collin, établit, contre les hérétiques et les novateurs, la doctrine catholique de l’Eau bénite, du triple point de vue historique, polémique et moral.

Pour établir que cet usage s’impose, pour ainsi dire, de lui-même, à l’homme religieux, il commence par mentionner les diverses formes d’eaux consacrées que l’on trouvait dans l’Antiquité. Puis, passant à la vraie religion, il montre les rapports étroits qui unissent les rituels de l’Ancienne Loi (eau mêlée de sang, eaux lustrales, eau d’expiation, etc.) avec les quatre types d’eaux lustrales de la Nouvelle Loi (aqua benedicta, eau baptismale, eau grégorienne, eau signée).

Le chrétien trouvera dans ce traité un excellent résumé de ce qu’il faut savoir sur ce sujet. L’ouvrage de Mgr Gaume (XIXème s.) sur le même thème constituera un complément appréciable, sans pour autant faire perdre à celui-ci, rédigé dans un contexte différent (XVIIIème s.), son opportunité.




15,5 x 23 cm, 387 pages
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samedi 3 septembre 2011

De la dévotion aux Agnus Dei, Mgr X. Barbier de Montault

Cet opuscule est un résumé fort instructif de ce qu’il faut savoir du puissant sacramental qu’est l’Agnus Dei.

Il traite aussi bien de sa fabrication que de son symbolisme, de ses vertus et de ses usages que de Droit canon et de liturgie.

L’auteur montre l’insigne nature de cette véritable arme spirituelle, intimement liée à l’Agneau de Dieu, le Roi des rois et le Seigneur des seigneurs, le Rédempteur du monde et Souverain Maître de l’univers.




10,8 x 17,5 cm
86 pages

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